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Le maillot spécial Coupe du monde de rugby et toute la gamme de vêtements dédiés au plus bel événement sportif de l’année ont été dévoilés aujourd’hui. Un bon millésime.


-> Maillot Authentic domicile – 130€

Mi Bleu, mi Black. Ou plutôt « un dégradé moderne de deux bleus, le bleu roi
utilisé en 1999 et le bleu nuit présent sur le maillot du XV de France en 2007, référence aux victoires de l’équipe de France de rugby contre les All Blacks », selon Nike, qui a dévoilé aujourd’hui le nouveau maillot de l’équipe de France de rugby pour la Coupe du monde de rugby, en septembre et octobre prochain. Sur le torse du maillot « domicile » (porté ici par le capitaine Thierry Dusautoir), un dégradé de lignes asymétriques qui nous a d’abord fait penser que le designer de la marinière des footeux était dans le coup. Très « dark » et ultra-moulant, cet ensemble plutôt sobre est dans la droite ligne des maillots de rubgy modernes. Du solide, le clin d’œil historique en plus.


-> Maillot Authentic extérieur – 130€

La tenue « extérieure » (sur le dos d’Imanol Harinordoquy) a nettement plus d’allure : le 100% est un must qu’on ne cessera jamais de vanter. Le plus : les fines bandes tricolores ressortant nettement mieux sur fond bleu et qui donnent une patine rétro (et cyclo) à ce maillot. Bon, après, l’essentiel sera de bien jouer, évidemment. Premier indice le 10 septembre, contre le Japon.


-> Hoody vintage FFR – 80€

Nike a par ailleurs décliné une gamme de produits pour les supporters et une collection vintage 1979 (référence à l’année de la première victoire des Bleus face aux All Blacks sur le sol néo-zélandais). Une collection au style épurée, simple et chic nettement plus aboutie et infiniment plus cohérente que son équivalent footeux présenté cet hiver.

Mathieu Le Maux


-> Veste N98 FFR – 80€


-> Polo FFR – 45€


-> T-shirt maori – 28€

-> Postmoderne et référencé… GQ présente le revival du revival, ou comment on embrouille le passé pour qu’il se conjugue au futur.

« Rien, ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme », le principe de Lavoisier s’applique de plus en plus aux tendances comme le démontre une étrange mode actuelle. Un revival pas comme les autres. Non pas un retour aux années 20 et 30, ou même un retour aux années 70. Mais un retour aux années 20 et 30 telles que les imaginaient les années 70. Ainsi que le démontre ce clip de « The Runner », le nouveau hit de la sensation rock britannique du moment The Boxer Rebellion. Une vidéo très hot qui explique en partie pourquoi cette tendance a attiré l’attention de GQ.

Une esthétique quelque part entre David Hamilton ou la pochette de 1919 de John Cale côté photo… ou, côté ciné, des films comme Cabaret (Bob Fosse, 1972) et Bonnie and Clyde (Arthur Penn, 1967) qui avait, le premier, lancé cette mode.

On retrouve cette tendance sur les affiches et, dans une moindre mesure, dans les clips du groupe Brigitte. Le duo de jeunes mères de famille Sando, Bio & co qui cartonnent en ce moment (elles sont déjà disque d’or).

La preuve avec deux de leurs vidéos : celle de leur reprise paradoxale de « Ma Benz » des NTM et celle de leur mini-tube : « Battez-vous ». Ici encore les clips sont plutôt sexy et c’est un peu le deuxième niveau de lecture de cette chronique.

Et pour enfoncer le clou de notre théorie, on ajoutera le clip de « Too Insistent » de The Dø au look un poil moins vintage mais à la lumière tout aussi vaporeuse.

J.B.

->  Constatant le vif intérêt de ses lecteurs pour la lingerie, le blog de GQ a décidé de vous faire découvrir la jeune marque française Yasmine Eslami. Priorité à l’info.

Nous vous avons déjà parlé sur ce blog des défilés de la marque américaine de lingerie Victoria’s Secret ou des pubs de la marque anglaise Agent Provocateur. Mais de nombreux lecteurs se sont émus de l’absence de lingerie française dans nos posts. C’est pourquoi nous avons décidé de nous intéresser à la jeune marque française Yasmine Eslami

Après 10 années passées auprès de Vivienne Westwood,
 et 10 années passées à collaborer 
à de nombreux magazines de mode internationaux,
 Yasmine Eslami
 a lancé une ligne de sous-vêtements féminins au dessin sobre, à la réalisation soignée et au format minimal (au antipodes des créations froufroutantes de ses homologues anglo-saxons).

Lors de sa première saison, Yasmine Eslami avait fait appelle au très branché Olivier Zahm pour photographier sa collection (voir les photos). Et c’est le toujours très tendance Alex Antitch qui s’en charge cette saison. Avec devant l’objectif la solaire et subséquemment californienne Shannon Click ,déjà remarquée dans les campagne Guess, Prada ou Victoria’s Secret…

Bref, la lingerie Yasmine Eslami s’avère être un bon moyen d’offrir français, ce qui est important pour l’économie nationale, et ce, comme ces photos le démontrent, même si votre petite amie est américaine comme Shannon Click.

J.B.

-> Chaque semaine, Gonzague Dupleix (Style Académie) vous conseille une pièce du vestiaire masculin ou une marque à suivre. Aujourd’hui, la ceinture… fine la ceinture.

Vous êtes très nombreux a nous avoir reproché de n’avoir pas assez parlé de ceintures. A rouspéter, vous nous aurez eu à l’usure. Cette semaine nous vous parlerons donc d’une ceinture qui n’existe que dans les défilés.

-> En corde, chez Dolce & Gabbana ou en tissu chez Kris Van Assche (les seuls color blocks qu’on aime bien, bien que l’on s’imagine mal en tout gris). Ici, le pantalon est bien vendu avec sa ceinture en tissus (très compliqué à mettre)..

-> En cuir chez Zegna (notez au passage ce cours de porté de foulard)…

Ce qu’il faudra retenir de la leçon d’aujourd’hui: Les ceintures très fines très claires sont de saison. Attention cependant à ne pas la faire pendre ouvertement. Seuls les mannequins ont ce privilège (ne soyez pas jaloux, on ne leur demande jamais leur avis).

-> On se rabat donc, toujours chez Kris Van Aasche, sur cette très jolie création, qu’on évite de faire pendouiller comme le monsieur.

-> Il y a aussi ce ceinturon de Marc Jacobs qui nous plaît bien, mais qu’on pense pouvoir trouver aux puces.

-> On a également ce modèle de chez Zegna qui sort des tressage habituels.

Bien entendu, les maisons très accessibles ont quelques modèles honorables, que vous retrouverez facilement dans vos points de vente habituels. Et on ne se quitte pas en musique, ni en film, car l’univers de la ceinture ne nous évoque que des images licencieuses.

Gonzague Dupleix

-> Le duel Barça-Real ne tient pas toutes ses promesses, loin de là. Heureusement, un artiste britannique sort les fans de leur torpeur. Explications.

Un constat, au lendemain du troisième Barça-Real joué hier : on s’ennuie. L’enjeu, la pression, les schémas tactiques, les bagarres de cour de récré, les polémiques… tout le décorum de ce classico en quatre actes semble déprimer les fans de foot. Par nostalgie, et aussi pour combler le manque, les fans se repassent le récital blaugrana de novembre dernier (sorti en DVD !) et ses 5 buts à zéro pour les catalans. Ou alors ils se ruent sur des substituts de synthèse, comme ce spot animé de l’artiste Richard Swarbrick, commandé par Sky Sports qui rappellera aux téléspectateurs français (ou belges) le style du générique de l’émission « Strip-Tease ».

En espérant que le deus ex machina de ce duel au sommet soit à la hauteur du talent des deux équipes…

M.L.M


Photo d’Emmanuel Todd : Olivier Roller.

-> Sous l’impulsion des sociologues, la figure du zombie semble être en train de migrer de la pop-culture à la culture savante. Explication.

Dans une interview au site Marianne2, l’essayiste Emmanuel Todd développe l’idée des concept-zombies. Dans cette interview titrée « Face au FN, il faut rompre avec deux concepts-zombies : le libre-échange et l’euro », explique à quel point  des principes comme le libre-échange, l’euro (ou, plus loin, le front républicain) sont à ses yeux, depuis la crise de 2007, des « concepts-zombies » – une expression d’un autre sociologue, l’Allemand Ulrich Beck, auteur de La société du risque (Aubier, 2001) – c’est-à-dire des concepts morts, mais que l’on croit vivants. Nous ne nous prononcerons pas sur le fond de sa pensée, qu’il a également développée mardi 29 mars dans la « Matinale » de France Inter, et noterons simplement qu’Emmanuel Todd, en penseur volontiers iconoclaste, avait annoncé avant les autres la chute de l’URSS ou la montée des aspirations démocratiques dans les pays arabes…
Les zombies sont des morts vivants par ailleurs assoiffés de chair fraîche, mais ça Emmanuel Todd n’en fait pas mention, même s’il est sans doute conscient que cette aspect teinte d’une lueur inquiétante son discours sur le libéralisme. Et d’ailleurs, nous remarquons que les zombies sont revenus en force sur le devant de la scène pop-culturelle depuis la crise, comme parabole d’une société qui va mal. On en retrouve au cinéma (Bienvenue à Zombieland, REC, REC2, Planète Terreur, Doghouse, 28 semaines plus tard…), dans les comics, et même à la télé puisque la série américaine The Walking Dead est diffusée depuis la semaine dernière sur la chaîne Orange Cinéchoc (voir ci-dessous la bande-annonce en anglais).

J.B.

-> Chaque semaine, Gonzague Dupleix (Style Académie) vous conseille une pièce du vestiaire masculin ou une marque à suivre. Aujourd’hui, il se penche sur la très classique cravate cashmere.

Unie noire ou bleue, en laine rouge ou club, on allait bientôt finir par se pendre. Il aura fallu d’une seule virée désintéressée chez Emmaüs (Marseille) pour retrouver le goût des cravates à motif cashmere (« paisley » ou « madder » pour vos recherches sur des sites anglophones). 1 euro plus tard et une sublime cravate Charvet d’occasion autour du cou, nous étions à nouveau légers comme une plume d’oie.

Pour votre gouverne, sachez que ce motif en goutte d’eau est une adaptation plus ou moins minimaliste et fidèle des tissus folkloriques indiens.
Et qu’il y a deux écoles :

-> Une de la violence cosmique, qui ne fait pas l’unanimité et que l’on vous déconseille pour le moment.

-> Une de la poésie et de l’amour, déclinée aujourd’hui en quatre modèles.

Une américaine (Ralph Lauren Purple Label) que l’on porte sans plus de couleurs, merci.

Une anglaise, plus sage de chez Drake (une référence absolue des cravates à la papa).

Sa copine (Drake encore).

La cousine germaine (Drake toujours).

C’est tout pour le moment.

Gonzague Dupleix

-> Trois perles du cinéma d’action américain ressortent en salles ces jours-ci. L’occasion d’un focus sur les premiers films de trois réalisateurs cultes. Présentations.

-> Le Canardeur (1974)
Premier film de Michael Cimino (Voyage au bout de l’enfer, Les Portes du Paradis, L’Année du dragon) ce Thunderbolt and Lightfoot (L’Éclair et le pied de biche en V.F.) est un polar gorgé d’action de poursuites en voiture et de fusillades à l’arme lourde. Il met aux prises un Clint Eastwood pas encore auréolé d’une image d’auteur et le tout jeune Jeff Bridges (Big Lebowski, Tron I&II…).

-> Dans les salles le 19 septembre et disponible en DVD

-> Le point de non-retour (1967)
Premier film américain de John Boorman (Délivrance, Zardoz, Excalibur) ce Point-Blank montre un Lee Marvin minéral exécutant sa vengeance dans une économie de moyen implacable qui trahit le futur grand.

-> Déjà dans les salles et disponible en DVD

-> THX 1138 (1971)
Premier film de George Lucas (Star Wars) produit par Francis Ford Copolla, ce long métrage de science-fiction plonge Robert Duvall dans un monde souterrain aseptisé ou le sexe est prohibé. Ce manifeste futuriste est enfin disponible dans la version voulue par son réalisateur.

-> Déjà dans les salles et disponible en DVD

-> Chaque semaine, Gonzague Dupleix (Style Académie) vous conseille une pièce du vestiaire masculin. Aujourd’hui, il se penche sur la question, cruciale en cette saison, des gants.

Timo Weiland est une très jeune marque new-yorkaise quasi introuvable en France. Daft Punk un vieux groupe français dont le prochain disque est déjà disponible en téléchargement illégal partout sur le net. Timo a inventé des gants presque aussi beaux que ceux de nos deux robots. On annonce de la neige. L’affaire est dans le sac.

Pourquoi ces fameux gants (en cuir c’est un plus) sont-ils mieux que les autres nous demandera t-on ? Parce qu’ils ont le détail qui tue. Il n’ont pas ce vieil élastique qui sert soi-disant le poignet mais qui laisse pénétrer la neige. Ils ont cette boucle de serrage géante qui rappelle l’existence de la moto et de la French Touch. Ce tout petit rien qui fait oublier le ridicule petit bouton pression (et son cliquetis de porte-monnaie de grand-mère), redonne force et noblesse à des mains contraintes et forcées de se cacher.

Un crochet par le site www.timoweiland.com, donne une nouvelle idée de ce qu’il est bon de porter. Les associations d’idées sont pertinentes et le style parfait, sans se fourvoyer dans l’ère du temps. Comme l’écrit notre grand frère américain, « ce ne sont pas des vêtements que votre père porterait – mais qui aurait pu l’être par votre grand-père ». Si c’est eux qui le disent… (même si les mitaines on est moins certain d’approuver)

Gonzague Dupleix

-> Le numéro de décembre de GQ sort mercredi 17 novembre avec en couverture Robert De Niro, mais aussi Diane Krüger, Victor Robert, les Daft Punk (dans les coulisses de Tron L’Héritage) et Sean Parker (accoucheur de Napster et de Facebook).

Vous avez déjà bombé le torse façon Vito Corleone ? Déjà singé un chauffeur de taxi devant un miroir ? Vous avez hésité, un temps, entre gangster et gérant de casino ? Rassurez-vous, vous n’êtes ni schizo ni psychopathe, simplement influencé par Robert De Niro, figure tutélaire de la virilité. GQ est allez à la rencontre d’un monstre sacré. Scoop : on a réussi à le faire rire.

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