-> Lancée il y a quelques semaines, la revue Schnock est enfin arrivée jusqu’à nous… Et nous avons craqué sur son style inimitable. Explications.

« La revue des vieux de 27 à 87 », Schnock c’est un peu le magazine pour vieux jeunes auquel pensait Ardisson sous le titre à peine mégalo de Moi. Ou le journal pour jeune vieux auquel rêvait Jean-François Bizot (Actuel) sous le titre plus rigolo de Si Senior.
Ce premier numéro de Schnock est centré sur la culture populaire des années 70. Avec en couverture Jean-Pierre Marielle qui a si bien interprété la « beaufitude anarchisante propre à la France giscardienne ». L’acteur y est interviewé ainsi que Joël Séria, réalisateur, notamment, des Galettes de Pont-Aven et de Comme la Lune.

On y croise aussi un entretien raté entre Eddy Mitchel et le chanteur Alister, « Les Confession d’un Collaro-boy » ou un top 15 des biscuits Schnock : Tuc, Figolu, Paille d’or, Chamonix… Par ailleurs Bernard Kouchner revient sur Les années Actuel et Christophe Ernaud propose une critique du film Je vais craquer de François Leterrier et Gérard Lauzier.

Alors que Matthias Debureau établit le guide du routard de son appartement (Où manger ? À faire ?…). Enfin, Schnock emmène également François Simon (le critique gastronomique au Figaro) au Monoprix. Lancé par Laurence Remila (Technikart) et Christophe Ernault (Alias Alister) Schnock se positionne comme la revue érudite et pointu des nostalgies populaires.

J.B.

Le maillot spécial Coupe du monde de rugby et toute la gamme de vêtements dédiés au plus bel événement sportif de l’année ont été dévoilés aujourd’hui. Un bon millésime.


-> Maillot Authentic domicile – 130€

Mi Bleu, mi Black. Ou plutôt « un dégradé moderne de deux bleus, le bleu roi
utilisé en 1999 et le bleu nuit présent sur le maillot du XV de France en 2007, référence aux victoires de l’équipe de France de rugby contre les All Blacks », selon Nike, qui a dévoilé aujourd’hui le nouveau maillot de l’équipe de France de rugby pour la Coupe du monde de rugby, en septembre et octobre prochain. Sur le torse du maillot « domicile » (porté ici par le capitaine Thierry Dusautoir), un dégradé de lignes asymétriques qui nous a d’abord fait penser que le designer de la marinière des footeux était dans le coup. Très « dark » et ultra-moulant, cet ensemble plutôt sobre est dans la droite ligne des maillots de rubgy modernes. Du solide, le clin d’œil historique en plus.


-> Maillot Authentic extérieur – 130€

La tenue « extérieure » (sur le dos d’Imanol Harinordoquy) a nettement plus d’allure : le 100% est un must qu’on ne cessera jamais de vanter. Le plus : les fines bandes tricolores ressortant nettement mieux sur fond bleu et qui donnent une patine rétro (et cyclo) à ce maillot. Bon, après, l’essentiel sera de bien jouer, évidemment. Premier indice le 10 septembre, contre le Japon.


-> Hoody vintage FFR – 80€

Nike a par ailleurs décliné une gamme de produits pour les supporters et une collection vintage 1979 (référence à l’année de la première victoire des Bleus face aux All Blacks sur le sol néo-zélandais). Une collection au style épurée, simple et chic nettement plus aboutie et infiniment plus cohérente que son équivalent footeux présenté cet hiver.

Mathieu Le Maux


-> Veste N98 FFR – 80€


-> Polo FFR – 45€


-> T-shirt maori – 28€

-> Postmoderne et référencé… GQ présente le revival du revival, ou comment on embrouille le passé pour qu’il se conjugue au futur.

« Rien, ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme », le principe de Lavoisier s’applique de plus en plus aux tendances comme le démontre une étrange mode actuelle. Un revival pas comme les autres. Non pas un retour aux années 20 et 30, ou même un retour aux années 70. Mais un retour aux années 20 et 30 telles que les imaginaient les années 70. Ainsi que le démontre ce clip de « The Runner », le nouveau hit de la sensation rock britannique du moment The Boxer Rebellion. Une vidéo très hot qui explique en partie pourquoi cette tendance a attiré l’attention de GQ.

Une esthétique quelque part entre David Hamilton ou la pochette de 1919 de John Cale côté photo… ou, côté ciné, des films comme Cabaret (Bob Fosse, 1972) et Bonnie and Clyde (Arthur Penn, 1967) qui avait, le premier, lancé cette mode.

On retrouve cette tendance sur les affiches et, dans une moindre mesure, dans les clips du groupe Brigitte. Le duo de jeunes mères de famille Sando, Bio & co qui cartonnent en ce moment (elles sont déjà disque d’or).

La preuve avec deux de leurs vidéos : celle de leur reprise paradoxale de « Ma Benz » des NTM et celle de leur mini-tube : « Battez-vous ». Ici encore les clips sont plutôt sexy et c’est un peu le deuxième niveau de lecture de cette chronique.

Et pour enfoncer le clou de notre théorie, on ajoutera le clip de « Too Insistent » de The Dø au look un poil moins vintage mais à la lumière tout aussi vaporeuse.

J.B.

-> Lara Croft revient ! L’héroïne sexy du jeu Tomb Raider sera bientôt à l’affiche d’un nouveau volet de la série qui mettra en lumière la genèse de son histoire. Les jeux vidéo deviendraient ils nostalgique ? Explications.

Lancé en 1996, Tomb Raider a révolutionné le jeu vidéo avec son héroïne féminine Lara Croft devenu depuis le premier sex symbol virtuel… Et aussi grâce au soin apporté aux parcours et aux décors qui en faisait une véritable aventure interactive. Mais depuis, les versions successives avaient fini par s’essouffler… Alors, pour la première fois à notre connaissance, un jeu vidéo s’essai au reboot (redémarrage) et au prequel (suite qui se passe avant). Comme le démontre cette impressionnante bande annonce :

C’est à dire que Tomb Raider : Turning Point, le nouvel épisode de la saga doit nous faire découvrir comment Lara Croft est devenue Lara Croft… En tentant de survivre à un naufrage sur une ile inhospitalière. Ce qui fait de ce jeu, contrairement aux précédents, un Survivor plus qu’une chasse au trésors. Mais là n’est pas l’essentiel.

Alors que le jeu vidéo fêtera l’an prochain ses 40 ans (Pong est apparu comme première bornes d’arcade au États-Unis en 1972), la discipline se laisse donc aller à regarder dans le rétroviseur.
Rejoignant ainsi une tendance lourde de la pop culture des années 2000 et spécialement du cinéma grand public : Star Wars épisode I, Superman Returns, Batman Begins, X-Men, le commencement ou bientôt La Planète des Singes : les origines… Tous ses reboots qui sont en fait des prequel racontent la naissance des mythes qu’ils mettent en scène. Et démontrent que le cinéma d’action pour ado est devenu nostalgique d’une époque que la plupart de ses spectateurs n’on pas connu. Tout comme le cinéma adulte américain s’était fait retro face à la crise morale du début des années 70 : La dernière séance, Gatsby le Magnifique, American Graffiti

On pourrait cependant être plus optimiste, en constatant qu’un arbre se fabrique autant de racines qu’il développe de branches… Avec ce nouveau Tomb Raider la culture du jeu n’échappe pas à cette règle de la nature, s’enracinant en écrivant sa propre histoire.

Jacques Braunstein

-> Chaque semaine, Gonzague Dupleix (Style Académie) vous conseille une pièce du vestiaire masculin ou une marque à suivre. Mais alors que les soldes commencent sur le net, il nous propose sa petite sélection (suite).

-> Au rayon des chaussures, c’est le désert absolu. Des modèles tous plus déprimants les uns que les autres. Il n’y a que trois quatre paires de desert boots qui se courrent après. (ACNE, APC, APC, Polo Ralph Lauren)


-> Une jolie paire de bottes, certes, mais qui se zippe à l’arrière, non mais oh ! (Belstaff)

-> De jolies bico Polo Ralph Lauren. Comme de bien entendu les cocos, la meilleure affaire est déjà partie entre les mains d’autres barbares. Mais tout n’est pas si grave… (Church’s, Polo Ralph Lauren)

Enfin, les précieux accessoires. Si la maroquinerie n’est pas vraiment votre tasse de thé, il y a trois écharpes et quelques foulards qui se battent en duel. Des cravates douteuses, des étuis de téléphone (le comble du mauvais goût), une pochette d’une couleur étonnante, des chaussettes un peu bof, quelques chapeaux de paille. Et puis…

-> Ce très mignon papillon. (Drakes)

-> Et cet autre là. (Band of Outsiders)

-> Et en fin ce joli petit bob. (Margaret Howell)

Cette semaine, on se quitte une fois de plus sur une note de bon goût, avec un clip qui remet les pendules à l’heure, et vos grands mères à quatre pattes dans le potager.

Le groupe s’appelle Hold Your Horses (l’équivalent de « Arrête ton char Ben Hur »), ils sont français. La chansons s’appelle tout bêtement 70 Millions.

Gonzague Dupleix

-> Chaque semaine, Gonzague Dupleix (Style Académie) vous conseille une pièce du vestiaire masculin ou une marque à suivre. Mais aujourd’hui c’est les soldes sur le net. Petite sélection.

Bonjour les amis. Cette semaine, on parle peu, mais bien. Du moins on essaye, et du mieux qu’on peut, ce qui n’est pas toujours évident, vous en conviendrez. Mr Porter, le compagnon de Net à Porter, solde des pièces de marque. Nous vous proposons une sélection arbitraire, mais de goût, pour survivre à ce delirium consumériste.
Si vous voulez bien vous donner la peine de lire ce qui suit :

AVERTISSEMENT: Ne dépensez pas non plus des sommes folles, vous le regretteriez. Un costume à plus de 500 euros s’essaye et s’achète dans une boutique ; en n’ayant pas oublié de venir avec des jolies chaussures, une chemise et une cravate, non pas pour impressionner le personnel, mais pour essayer la marchandise dans des conditions réelles.

Maintenant, vous pouvez y aller.

-> Excellent jean très bien coupé. Mais au faux vieux, on préfère le vrai jeune qui deviendra vieux beau. (Levi’s)

-> Le jean II. Voici la marque de denim qui tue même les gens qui ont pas envie d’en finir tout de suite (il y en a figurez-vous!). (Simon Spurr)

-> La marinière. le cadeau idéal à offrir à son gendre mi-gentil mi-gentil. (APC)

-> La chemise. Parce qu’on en a ras le pompon des carreaux (un ami disait l’autre jour, très justement, que les carreaux et le jean brut slim, sont à notre époque ce que les sous pull en acrylique et le patte d’éléphant étaient aux années disco), parce que le bleu c’est beau comme des yeux d’amoureux, que les petites épaulettes ça nous rappelle qu’on ne sait pas trop où traîne notre ami le porte-avion Charles-de-Gaule. (Levi’s)

-> La chemise blanche YSL.Vous avez bien trois quatre mariages cet été et n’avez pas pensé à vous fournir chez Monoprix ou Uniqlo ? (Yves Saint Laurent)

-> Le t-shirt. À ce prix-là, on vous en trouve trois ou quatre blancs ou noirs, et sans la couture sur les épaules, qui vous passe de la catégorie backroom berlinois (ici) au garage américain où Brando astiquerait ses cuivres (ici). Sinon, à la page d’après, il y a le T-shirt Levi’s en solde. Moins singulier, mais pas mal non plus. (Levi’s, Rick Owens)

-> La chemise en jean. C’est un peu une peau de banane de saison, mais que voulez-vous, c’est au vieux singe à qui on ne la fait pas (la grimace), pas au jeune ouistiti. En un mot, vous êtes jeune et beau, laissez vous berner, sinon maugréez. (Levi’s)

-> Cocorico. Le costume croisé à pas cher du tout, l’occasion en or de ces soldes. (APC)

-> Le cargo slim. Quitte à en porter un, autant qu’il provienne de là où on sait les faire. (Burberry)

-> Le chino. Merci à Charlemagne d’avoir inventé l’école. Merci à Polo Ralph Lauren de bien colorier vos pantalons.

Et maintenant que vous êtes prêts à tout acheter, rappelez-vous notre avertissement.

Gonzague Dupleix

-> Rose Byrne, la nouvelle star australienne d’Hollywood, se dévoile pour le GQ kangourou. Présentation.

Rose Byrne est à l’affiche du film d’épouvante Insidious sorti le 15 juin. Une série B signée des réalisateurs de Saw et des producteurs de Paranormal Activity dans lequel elle interprète une mère de famille au prise avec un fils possédé.

Le mois dernier, elle illuminait l’inégal X-Men : le commencement de sa silhouette filiforme et de son port altier. Jouant une agent de la CIA dépourvue de super-pouvoirs mais n’hésitant pas à se balader en lingerie pour les besoins de sa périlleuse mission.

Présentée dans le GQ français d’octobre 2010, l’Australienne a été découverte dans Troie, péplum en forme de nanar crypto-gay, où elle tirait son épingle du jeu dans le rôle de la protégée d’un Brad Pitt péroxydé. Formée à l’Institut national d’art dramatique de Sydney (tout comme Nicole Kidman et Naomi Watts), la délicate Rose a démarré dans des fictions télé kangourou genre Hartley, cœurs à vif. Mais c’est la série Damages qui la révèle au monde en 2007. Elle y incarnait la jeune avocate souffre-douleur de la très méchante Glenn Close.

On devrait la retrouver le 10 août dans Mes meilleurs amies (Bridesmaids), comédie moins romantique qu’il n’y paraît, produite par Judd Apatow (40 ans, toujours puceau ; En cloque, mode d’emploi). Un film qui a fait un carton outre-Atlantique avec 25 millions de dollars de recettes lors de sa sortie ce week-end… Rose Byrne, évidement, s’avère un argument supplémentaire pour accepter d’aller voir ce film avec sa copine.

J.B.

-> Badlands, la Balade Sauvage, premier film de Terrence Malick ressort dans les salles le 15 juin. L’occasion de découvrir les débuts du réalisateur de The Tree of Life. Explications.

À la sortie de The Tree of life, le nouveau film de Terrence Malick avec Sean Penn et Brad Pitt couronné par la Palme d’or à Cannes, on a pu distinguer deux types de réactions. D’un côté : « Formidable le nouveau film du réalisateur de Badlands. » et de l’autre « Nul, un délire mystique très décevant de la part du réalisateur de Badlands ».

En clair, tout le monde conseille de voir, ou revoir, cette Balade Sauvage de 1974 avec Martin Sheen (Apocalypse Now, The West Wing…) et Sissy Spacek (Carrie, Missing…). Un road movie désespéré qui en inspira bien d’autres : Paris, Texas, Sailor & Lula, Drugstore Cowboy, Thelma & Louise, True Romance, Natural Born Killers, Kalifornia

Dès ce premier film du maître, on devine son goût pour les plans léchés et un regard contemplatif sur la nature. À voir absolument, comme son film suivant, Les Moissons du Ciel (1979) avec Sam Shepard et Richard Gere.

Ces deux films « de jeunesse » tournés avant son éclipse de 20 ans et son retour en grâce à l’aube de l’an 2000 : La Ligne Rouge (1999), Le Nouveau Monde (2006), The Tree of Life (2011) et bientôt Burial (2012).

Une renaissance finalement plus discutée par les critiques comme le démontre ce texte traduit sur le site Slate.

J.B.


Gregory Peck en avocat sudiste dans Du silence et des ombres (1962).

-> Chaque semaine, Gonzague Dupleix (Style Académie) vous conseille une pièce du vestiaire masculin ou une marque à suivre. Aujourd’hui, il s’attache à la question du costume d’été.


Les sénateurs des Etats-Unis lors du « Seersucker Thursday », qui a lieu chaque année en Juin.

Chers amis,
Après 17 jours passés sur le sol new-yorkais, nous revenons avec des kilos de bonnes informations à vous délivrer très bientôt sur les ondes Internet.
Mais comme nous n’avons pas du tout la fibre commerciale, et n’aimons pas l’idée de vous faire bêtement poireauter (c’est ça le journalisme), nous allons vous divulguer sans plus attendre, le meilleur plan de Manhattan.

Il se cache dans la boutique Liquor Store de la marque J Crew. Il s’appelle costume ludlow à fines rayures, 100% coton made in China, et il vaut 400 dollars, soit 275 euros.
Commandez-le en ligne ici, et faites le retoucher si nécessaire.
Il taille un peu carré. Si vous cherchez un effet « sur mesure », vaut mieux prendre plus petit quitte à « le faire » pendant un moment. À ce prix, et cette qualité, on ne peut pas vous proposer mieux…

Si vous en avez marre de ne pas trouver un costume en seersucker, car les boutiques font exprès de vous le vendre en tandem veste/bermuda, vous pouvez profiter de l’occasion pour vous en prendre un aussi, ici.

-> Nos préconisations
Chemise blanche à col français boutonné jusqu’à la glotte.
cravate en laine noire à bout carré ou en soie noire avec des jolies petits motifs simples //pas une club, ni un nœud papillon avec canotier.
Chaussures bicolores marron ou noires / blanches mais // pas de bucks blanches, trop cliché.
Chaussettes fines bleu pâle.
Pochette blanche pliage deux pointes // pas rectangulaire, pitié.

Gonzague Dupleix

-> On se quitte cette semaine, avec ce que l’on peut faire de plus GQ, même mal fagoté dans un costumé d’été. The Walkmen à Primavera 2011, Barcelone. Bonsoir.

-> Régulièrement, Marie Aline (qui coordonne les pages Plaisirs de GQ) nous fait partager ses dernières découvertes en matière de gastronomie. Aujourd’hui, elle se penche sur Le Chardenoux des prés, nouvelle adresse du chef cathodique Cyril Lignac.

Cyril Lignac serait-il volage ? Des émissions de télé à tire-larigot, des livres édités à la mitraillette, un magazine, une école de cuisine et maintenant un troisième restaurant. « Jamais en cuisine » disent ces détracteurs, comme s’il fuyait trop souvent le lit conjugal. Peut-être n’ont-ils pas compris que Cyril Lignac pratiquait la polygamie avec équité : la même part pour chaque femme. Pour sa dernière danseuse, Le Chardenoux des prés, un concentré d’élégance au papier peint liberty qui se cache rive gauche, il a donné, comme au Chardenoux, sa deuxième concubine, une carte bistrotière très maîtrisée: côte de bœuf Simmenthal du boucher star Hugo Desnoyers ; carpaccio de daurade royale dont la sauce aigrelette vous fait grimacer devant l’ancien tôlier, Claude Sainlouis, acteur des années yéyé qui réunissait dans son bouge la clique d’Alain Delon ; côte de cochon noir de Bigorre au saté à vous faire ignorer Vincent Elbaz, qui déguste juste en face. Et pour faire tourner les têtes, les mythiques profiteroles au chocolat, déjà un must au Chardenoux. Ici, accompagnées d’une boule de glace à la noisette façon maison, elles ont achevé de nous convaincre. Volage ou pas, nous, on a décidé de lui rester fidèle.

Marie Aline

-> Le Chardenoux, 1 rue Jules Vallès 75011 Paris. Tél : 01 43 71 49 52.
-> Le Chardenoux des prés, 27 rue du Dragon 75006 Paris. Tél : 01 45 48 29 68

Ouvert tous les jours
Déjeuner de 12h à 15h
Le samedi et dimanche de 12h à 15h30
Dîner de 19h à 23 H
Menu déjeuner à 25 € du lundi au vendredi
A la carte, environ 40 €

-> Réservations sur www.cyrillignac.com

Le site de GQ

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