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-> Rose Byrne, la nouvelle star australienne d’Hollywood, se dévoile pour le GQ kangourou. Présentation.

Rose Byrne est à l’affiche du film d’épouvante Insidious sorti le 15 juin. Une série B signée des réalisateurs de Saw et des producteurs de Paranormal Activity dans lequel elle interprète une mère de famille au prise avec un fils possédé.

Le mois dernier, elle illuminait l’inégal X-Men : le commencement de sa silhouette filiforme et de son port altier. Jouant une agent de la CIA dépourvue de super-pouvoirs mais n’hésitant pas à se balader en lingerie pour les besoins de sa périlleuse mission.

Présentée dans le GQ français d’octobre 2010, l’Australienne a été découverte dans Troie, péplum en forme de nanar crypto-gay, où elle tirait son épingle du jeu dans le rôle de la protégée d’un Brad Pitt péroxydé. Formée à l’Institut national d’art dramatique de Sydney (tout comme Nicole Kidman et Naomi Watts), la délicate Rose a démarré dans des fictions télé kangourou genre Hartley, cœurs à vif. Mais c’est la série Damages qui la révèle au monde en 2007. Elle y incarnait la jeune avocate souffre-douleur de la très méchante Glenn Close.

On devrait la retrouver le 10 août dans Mes meilleurs amies (Bridesmaids), comédie moins romantique qu’il n’y paraît, produite par Judd Apatow (40 ans, toujours puceau ; En cloque, mode d’emploi). Un film qui a fait un carton outre-Atlantique avec 25 millions de dollars de recettes lors de sa sortie ce week-end… Rose Byrne, évidement, s’avère un argument supplémentaire pour accepter d’aller voir ce film avec sa copine.

J.B.

-> Jennifer Lawrence fait l’ouverture des pages Buzz du GQ de juin (le 18 mai en kiosques). A l’affiche de X-Men – le commencement et du Complexe du Castor, la nouvelle blonde du ciné US dévoile un ramage à la hauteur de son plumage, qui lui a valu un prix d’interprétation à Venise et une nomination au Oscars. On vous avait promis plus d’images sur le blog, les voici donc.

texte : Julien Welter / photos : Alasdair Mac Lellan

Photographiée par nos confrère du GQ américain pour leur numéro de mai, Jennifer Lawrence a une moue boudeuse, un regard sensuel et un ventre 100 % naturel comme on en a pas vu depuis longtemps à Hollywood. À 20 ans, elle affiche même une aura sauvage à la Bardot, bien loin de l’adolescente farouche qu’elle incarnait dans Winter’s Bone. Pour autant, le personnage de Ree Dolly lui collera encore longtemps à la peau, ne serait-ce qu’en raison de cet accent du sud des États-Unis qu’elles ont en commun. À écouter parler Jennifer, on visualise le garçon manqué du Kentucky surnommé « Nitro » à force d’enflammer les parquets de basket et de donner des coups de crosse de hockey. Si la jeune femme a auditionné pour jouer la brindille de Twilight, elle était destinée à être nommée aux Oscars dans le rôle de la jeune tête brûlée de Winter’s Bone. « J’avais déjà du mal à me faire à l’idée d’être dans la même catégorie que Natalie Portman. De là à gagner, il ne fallait pas rêver ! », raconte-t-elle à propos de la cérémonie. Ce battage médiatique autour de sa personne ne l’effraie pas : « Tout ce cirque est étrange mais je savais où j’allais. » Son sens de l’humour est rafraîchissant en regard des platitudes débitées par les jeunes comédiennes de sa génération.

Pour son premier grand rôle, dans Loin des terres brûlées en 2008, Jennifer Lawrence partageait l’affiche avec Kim Basinger et Charlize Theron. On pressentait déjà qu’elle était l’héritière de ces blondes incendiaires. Elle confirme en jouant ces jours-ci de ses charmes dans X-Men : le commencement, où elle campe une mutante bleue mais dénudée. « À ma première audition, mon interprétation était trop innocente. Mon personnage a quelque chose de pimenté, que j’ai trouvé dans la démarche de Rebecca Romijn, la précédente interprète du personnage. » Cette dégaine lui va bien, et elle ne déparait pas au milieu de ce gratin de valeurs montantes, de James McAvoy (Wanted) à Michael Fassbender (Inglourious Basterds, Fish Tank) en passant par Nicholas Hoult (vu dans le film de Tom Ford A Single Man). « Parfois, le tournage ressemblait à un camp de vacances pour futures stars », s’amuse-t-elle.

Visiblement, ce fut aussi un cours de maintien puisqu’elle a appris à tenir sa langue : impossible de lui arracher une anecdote sur Mel Gibson, qu’elle croise dans Le Complexe du Castor de Jodie Foster. Comme on dit à Hollywood, un peu cyniquement, une étoile est née.

-> 2008, Loin des terres brûlées
Dans le mélo de Guillermo Arriaga, Jennifer Lawrence incarne le personnage de Charlize Theron jeune. Elle devient son héritière et décroche, à 18 ans, le prix d’interprétation du meilleur espoir au Festival de Venise.

-> 2010, Winter’s Bone .
Dans l’Amérique white trash des dealers de meth, Jennifer se dévoile en adolescente qui n’a peur de rien ni de personne. La critique ne parle plus que d’elle et de sa nomination méritée aux Oscars.

http://www.dailymotion.com/video/xglc2n_winter-s-bone-bande-annonce-vost_shortfilms

-> 2011, Le complexe du castor (sortie le 25 mai).
Etrange film de et avec Jodie Foster présenté à Cannes ces jours-ci, il met en scène un Mel Gibson dépressif qui s’exprime à travers une marionnette de rongeur. L’occasion pour Jennifer Lawrence de se confronter à deux monstres sacrés d’Hollywood.

-> 2011, X-Men : le commencement  (sortie le 1 er juin).
« C’est une mutante qui découvre sa sexualité, et qui se découvre elle-même », déclare Jennifer Lawrence, ravie de pouvoir jouer de ses charmes. Avec ce blockbuster très attendu, elle entre dans la cour des grands.

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