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-> Le blog de GQ revient après quinze jours d’interruption et en profite pour vous présenter ses meilleurs vœux… Et ces quelques photos de la bien nommée January Jones pour le couturier italien Versace.
Pour marquer notre retour nous aurions pu vous parler de Somewhere, le nouveau film de Sofia Coppola ou de l’arrivée imminente des soldes (le 10 janvier) mais nous avons préféré vus offrir ces quelques photos.
January Jones, l’indépassable Betty Draper de Mad Men, notre série préférée, est la nouvelle icône des accessoires Versace. Une campagne signée du grand Mario Testino dans laquelle elle ne porte que des accessoires. Puisqu’elle est là pour faire la pub des accessoires.
Notons par ailleurs qu’on retrouvera la glaciale beauté blonde en 2011 dans X-Men – First Class où elle incarnera Emma Frost (la Reine Blanche).
J.B.
Don Drapper s’essaie au paradis artificiels dans la saison 1 de Mad Men.
-> Mad Men, la série sur le monde de la pub à New York dans les années 60, entame sa troisième saison cette semaine sur Canal + (et que la quatrième est diffusée aux États-Unis sur AMC). Décrivant une Amérique en plein bouleversement.
Si chaque épisode de la série Mad Men met en scène le décalage entre notre époque et les années 60, à mesure que la série avance (d’environ deux ans par saison) on voit l’Amérique évoluer vers un mode de vie plus libre. Peu à peu le mouvement des droits civiques comme la révolution sexuelle viennent s’attaquer à la forteresse blanche et machiste qu’était l’agence Sterling Cooper à la fin des années 50. Dans AMC’s « Mad Men » Jumps the Shark, Babelgum, un site comique américain s’est amusé (avec de tout petits moyens) à montrer ce que pourrait être la saison 10 de la série, située au milieu des années 70. Alors que dans la vrai série la révolution des sixties n’apparaît encore que par petites touches (photos)
Pour l’instant, Kinsey est le seul employé de l’agence qui semble pris par les mouvements des 60’s. Célibataire propre sur lui dans la saison 1, il s’affiche avec une barbe et une petite amie noire dans la deuxième.
Photo Remi Rebillard
Vous le savez, à GQ on est particulièrement fan de Mad Men, la série américaine qui raconte la vie d’une agence de pub des années 60. On raffole de son style et on discute pendant des heures quant à savoir si c’est le nouveau Soprano ou si c’est mieux (oui, carrément !). Du coup notre blague de bureau préférée est devenue : « Et sinon sur Mad Men, on fait quoi dans ce numéro ? » Nous avions donc hâte de vous annoncer la sortie des Barbies et Ken version Mad Men. Cependant, cette nouvelle capitale nous laissant sans voix nous confions à nos confrères du New York Times (chez qui nous avons découvert l’info) le soin de l’interpréter.
(photo Terry Richardson)
January Jones, la glaciale Mrs Draper de la série Mad Men, est au sommaire du GQ de Décembre. Dans le portrait que nous lui consacrons, l’actrice se révèle une bonne vivante qui enchaîne les bières et a vécu une jeunesse hippie plutôt enfumée. Plus proche, finalement, de Cameron Diaz que du personnage à la Ingrid Bergman qu’elle interprète dans la série. Cadeau bonus à la veille du week-end cette photo inédite tirée de la série que nous publions, et le making-off de cette série sur le site du GQ américain.
Vous avez peut-être vu le spot télé pour Eau Sauvage de Christian Dior dont le visuel est une photo noir et blanc d’Alain Delon en 1966. Et la musique ? Et bien ce morceau aux boucles languides et hypnotiques est également le générique de notre série préférée : Mad Men (Canal +) le feuilleton sixties le plus stylé du PAF. Nous vous en reparlerons dès notre numéro de décembre.
Intitulé « A beautiful mine » cet instrumental se trouve sur l’album Magnificent City (Project Blowed/Decon) du rappeur Aceyalone, accompagné de l’arrangeur abstract hip-hop RJD2.
A voir la pochette, on se demande quand même pourquoi cette musique évoque les années 60 aux créatifs de Dior comme aux producteurs de Mad Men (les cordes peut-être ?).
J.B
Comme vous l’avez peut-être remarqué en lisant GQ la série Mad Men confine pour nous à l’obsession. Les aventures de ces publicitaires new-yorkais des années soixante provoquant, à la rédaction, des conversations sans fin sur la condition masculine et son évolution durant les cinquante dernières années.
C’est pourquoi nous nous sommes jetés sur le petit programme interactif que propose le site de la chaîne AMC à l’occasion du lancement de la troisième saison de Mad Men au États-Unis.
Comme vous pouvez le voir, avec l’exemple de notre collaborateur Arnaud Sagnard, c’est super simple de se transformer en Mad Men.
J.B.

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