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-> Habituellement, lorsqu’on s’intéresse aux jolies filles qui font l’actualité, on est amené à parler d’actrices, de chanteuses, de mannequins, et plus rarement de sportives ou de journalistes. Mais aujourd’hui, le blog de GQ innove car Anna Chapman, la jeune femme qui attire les feux de la rampe, nous plonge dans le monde de la géopolitique et de l’espionnage. Explication.
Ce n’est pas qu’il n’y ait pas de belles personnes dans le domaine de l’intelligence ou de l’immobilier (sa couverture), mais elles s’efforcent généralement de rester discrètes. Malheureusement pour elle, Anna Chapman faisait partie du réseau d’espions russes aux Etats-Unis, démantelé par le FBI ces derniers jours, comme nous l’apprend Le Monde et, la voilà en couverture du New York Post qui l’a qualifiée de « rousse incendiaire au physique de James Bond Girl » (même si nous la préférons en châtain qu’en rousse). En tout cas, pour la discrétion, c’est raté (voir son portrait sur le site du Nouvel Observateur) !
J.B.
Comme vous le savez tous ce soir c’est le choc ibérique Espagne-Portugal en huitièmes de finale de la Coupe du monde. Si l’Espagne perd ce sera peut-être la faute de cette femme. Explications.
D’après nos confrères de Libération : « Iker Castillas, le gardien et capitaine espagnol serait intimidé par la présence de sa novia, Sara Carbonero, dans le giron de sa sélection (elle était installée juste derrière son but lors d’Espagne-Suisse). Élue « journaliste sportive la plus sexy » par le FHM américain, Sara Carbonera, 26 ans, a une excuse : elle est là pour le travail, puisqu’elle suit la Roja pour la télé espagnole. Un peu comme Estelle et Raymond au temps de leur splendeur, les deux tourtereaux ont offert aux téléspectateurs après la défaite face à la Suisse le moment le plus improbable de l’année, l’une interviewant l’autre » explique Alexandre Gonzalez et Javier Prieto Santos dans le quotidien. Voilà donc une clé utile à la compréhension du match de ce soir. Même si, nous en sommes convaincus, le professionnalisme prévaudra !
-> Dans le numéro de juillet de GQ, Céline Amico évoquait le baby-foot Krystall Teckell dont voici la vidéo.
Grâce au cristal, le traditionnel jeu de bistro s’adapte aux lobbys des hôtels cinq étoiles. Même si les manettes interdisent les râteaux sous peine d’embrocher l’adversaire, la transparence apporte une touche sophistiquée à ce passe-temps sympathique. Les designers de B Lab Italia Davide et Gabriele Adriano l’affirment : « Notre baby-foot Krystall pousse le joueur à un plus grand contrôle, à un jeu davantage basé sur la tactique que sur la force. » Pratique, si votre appartement est légèrement plus cosy qu’un lobby d’hôtel : ce baby-foot existe aussi en version Mini Teckell avec seulement deux poignées de chaque côté comme le montre la vidéo.
-> Baby-foot Krystall Teckell, B Lab Italia, 7800 €.
C .A.
-> Le Blog de GQ offre à tous les fans de Star Wars ce drôle de film en stop motion signé Patrick Boivin jeune vidéo artiste québécois déjà auteur d’un hilarant Iron Baby à découvrir sur son site.
-> Au début, on a eu envie de faire deux posts. Et puis on s’est dit que l’occasion était trop belle. Le Fooding (www.lefooding.com) et Omnivore (www.omnivore.fr) font, une fois de plus, des événements jumeaux. Explications.
S’ils sont plus dizygotes que monozygotes dans l’âme, ces deux évements n’en sont pas moins proches dans leur date de naissance.
Le 2 juillet, La Bazarette du Fooding pose ses stands au Festival Days Off à la salle Pleyel (Paris, VIIIe arrondissement). Petits producteurs, boucher chevalin et mixologiste se tirent la bourre pour égayer les papilles des gourmets acoustiques.
Le 5 juillet, Omnivore honore son union avec le 104 par une soirée 100% avant-goût. Assiettes insolites par Fabrice Biasolo et cocktails 100% whisky…
Va-t-il y avoir clash ? Le même jour, le Fooding et sa Bazarette s’envoient en l’air à Calvi on the Rocks avant de finir à Biarritz au Big Festival, le 24 juillet.
Pendant ce temps-là, Omnivore la joue fourmi et reste tranquille durant tout l’été, pour revenir en force dès la rentrée avec une programmation mensuelle 100% food au 104.
Une hyperactivité culinaire qui va nous donner l’occasion d’aller bouffer à tous les râteliers, sans avoir à arbitrer.
Marie Aline
Photo delphinechaneac.com
-> Delphine Chanéac est la petite française de la semaine qui perce à Hollywood. À découvrir dans Splice au coté d’Adrian Brody et Sarah Poley, le 30 juin prochain.
Actrice dans Brice de Nice ou Laura : Le compte à rebours a commencé la série fantastique diffusée par M6 en 2006, Delphine Chanéac est également l’auteur d’un livre de témoignage ésotérique et assez barré La nuit, mon père me parle (Michel Lafon). Il faut d’ailleurs reconnaître que ses yeux violets ont quelque chose de surnaturel. Elle sera la semaine prochaine (30 juin) à l’affiche de Splice une série B américaine de science-fiction horrifique signée Vincenzo Natali (auteur de Cube, film culte !), avec Adrian Brody et Sarah Poley.
Et à GQ, on est toujours content quand une Française décroche un rôle à Hollywood. Même si c’est une vieille habitude américaine que de prendre une actrice française pour jouer les monstres nus, de l’espace ou d’ailleurs, comme le démontre cette vieille bande annonce de Lifeforce de Tobe Hooper avec Mathilda May.
Ou les victimes de vampire comme dans cette scène d’Entretien avec un Vampire avec Antonio Bandera et Laure Marsac. Ou n’importe quoi d’autre de nu d’ailleurs. Les clichés sont tenaces.
J.B.
Photo : Aurélien Chauvaud / GQ.
-> Vikash Dhorasoo était lundi soir au Forvm le QG de GQ durant cette Coupe du Monde afin d’interviewer Darren Tulett pour le blog qu’il tient (avec Fred Poulet) sur le site du Monde.
Bon sinon la France a perdu mais ça vous le saviez déjà. Et Darren Tulett était dans notre numéro de juin photographié au Forvm (Paris VIII), comme quoi il y a une logique dans tout ça.
-> L’été est là, on en prend pour trois mois. Certes, il fait beau et chaud, mais tout n’est pas permis pour autant. Les écueils sont nombreux. De cap en pied, Chaque semaine, Gonzague Dupleix (Style Académie) vous fait un petit rappel de base des concepts à maîtriser.
-> À moins d’un mal de tête justifié, dans les transports en commun et particulièrement le métropolitain, comme dans les lieux publics à forte fréquentation (des musées nationaux aux superettes de quartier), il est formellement interdit de garder délibérément ses lunettes de soleil sur le nez. Pris en flagrant délit d’autosatisfaction, vous avez piétiné le sens commun et perverti la notion d’amour-propre.
-> Pédale douce sur les débardeurs, les T-shirts en V profond, les chemises ouvertes sur torses poilus et pendants qui s’entortillent dedans.
-> Les chemisettes, surtout celle du pompiste, du serveur ou du joueur de bowling, on les renvoie illico à l’affreux Jason Priestley.
-> Pour la dernière fois : le pantacourt c’est la contraction de la bien connue: « pendez-les haut et court ! »
-> Soyez gentils, séparez vous une bonne fois pour toute de ces mini-chaussettes invisibles que nous ne saurions voir. Et si vous ne comprenez toujours pas, faites un parallèle avec ce magistral tue l’amour : mais si, rappelez vous de cette si jolie fille, accoudée au comptoir, elle portait un soutien-gorge à bretelles, soi-disant invisibles…
-> Au rayon pieds toujours, on investit dans des nouvelles paires de chaussettes, plus colorées et plus fines. Le premier qu’on attrape avec une paire de chaussettes de bureau, ou avec ses vieilles chaussettes de sport « à la cool », aura le droit à un supplice surprise.
-> Enfin, inutile de jouer les cakes au moindre rayon de soleil. Claquettes de maître nageurs et tongs attendront sagement dans votre sac de voyage le début de votre séjour all inclusive au Club Med de Corfou.
Gonzague Dupleix
La direction artistique de GQ nous signale le clip du morceau de Breakbot, (A.K.A. Thibaut Berland) « Baby I’m Yours ». La graphiste Irina Dakeva a crée à l’aide de plus de 2000 aquarelles un univers pastel délicieusement rétro pour le producteur et DJ du label français Ed Banger Records. Quant à sa chanson, parfait apéritif mid-tempo pour un été 2010 enfin officiel, le sous-groupe musique nous signale qu’elle est un « remake semi-inconscient » de « Midas Touch » (1986,) morceau tardif du groupe funk Midnight Star, qui évoluait dans un univers visuel tout à fait différent, comme le démontre ce clip.
Elisa Sednaoui shootée par Benoît Peverelli pour Libération Next.
-> Nouvelles chouchoutes du cinéma français, elles sont au sommaire du numéro de juillet de GQ. Parmi elles, Elisa Sednaoui, à découvrir grâce au blog de GQ dans le court métrage de Karl Lagerfeld pour Chanel : Remember Now.
Sourcil broussailleux, voix grave, séduction parfaitement arrogante : Elisa, 22 ans, est irrésistible. Mannequin à succès avant de jouer les utilités rock en perfecto dans l’inégal Bus Palladium, on la retrouvera prochainement dans le premier film de l’acteur Grégoire Colin : La baie du Renard.
Mais en attendant, c’est Karl Lagerfeld qui s’est entiché de la torride italienne, l’invitant à interpréter le rôle principal de Remember Now, aux côtés de Pascal Greggory. Ce court métrage présente la collection croisière* de Chanel au cours d’une nuit de fête à Saint-Tropez, où ils évoluent du V.I.P. Room à l’arrière pays en Rolls Royce Drophead dans une ambiance de dolce vita décadente et un poil clinquante (la Lamborghini Gallardo Spyder au début) furieusement tropézienne.
S.P. et J.B.
*La collection croisière est une mini-collection « été pour l’hiver », destinée aux happy few qui souhaitent partir en vacances sous des cieux plus cléments sans pour autant porter des vêtements de la saison passée.
Le Blog de GQ 